En réponse à la déclaration publiée par l'UER hierEric Saade a publié sa propre réponse.
C'était juste ma façon de montrer une partie de mon origine, ce qui est important dans un monde comme celui-ci. J'ai reçu ce keffieh de mon père quand j'étais petit, pour ne jamais oublier d'où vient la famille. À l'époque, je ne savais pas qu'il serait un jour qualifié de "symbole politique" par l'UER. C'est comme si on appelait le "cheval suédois Dala" un symbole politique... À mes yeux, c'est juste du racisme.
Je voulais juste être inclusive et porter quelque chose d'authentique pour moi - mais l'UER semble penser que mon appartenance ethnique est controversée. Cela ne dit rien sur moi, mais tout sur eux.
Je m'en tiendrai au slogan du CES de cette année :
Unis par la musique !
Je ne peux qu'espérer un changement à l'avenir...
Eric Saade sur l'UER qui l'accuse de politiser le concours
Suite à la première demi-finale, l'UER a été critiquée pour sa gestion des personnes souhaitant partager des déclarations pro-palestiniennes, en plus de la déclaration sur Saade, Le représentant irlandais Bambie Thug révélé qu'on leur avait fait changer l'écriture sur leur corps en ogham.
Suite à la non-qualification du pays, le chorégraphe australien a également révélé qu'il avait peint une pastèque, symbole de la Palestine, sur sa poitrine. D'autres révélations ont été faites sur le fait que l'UER avait demandé aux agents de sécurité de fouiller chaque artiste avant qu'il n'entre sur scène pour vérifier s'il ne portait pas de drapeaux ou d'objets interdits sur lui. L'UER n'a fait aucune déclaration au sujet de la chorégraphe australienne.